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Un récit autobiographique étonnant, passionnant, émouvant. Le sujet qu'a choisi Emma Subiaco n'est pas simple. Pour avoir de l'argent pour ses études elle devient strip-teaseuse. Et cela devient le thème de son premier roman graphique, très abouti, vrai, sincère, un reportage en direct et sans tabous, images fausses
Jette un oeil du côté de la bande-dessinée libanaise et de ses autours, ça en vaut vraiment le coup!
"Pour le numéro anniversaire de Samandal, Raphaelle Macaron, rédactrice en chef, a choisi d’inviter les contributeurs à se pencher sur la question de l’utopie, et à interroger l’idéal esthétique, politique, fictif. Victime en 2010 d’un procès ayant condamné des planches publiées dans le septième numéro (co-édité par l’Employé du Moi) pour ..."
Pas loin de 1 110 pages pour les 3 tomes ; ça me fait vraiment envie cette série d'intrigues imbriquées. [À SUIVRE] à voir même à acheter !
"La toile de fond est donc la Hong Kong coloniale vers 1925 pour le premier tome et dix ans plus tard pour le deuxième. Une partie importante de l’action se déroule dans la Citadelle de Kowloon, sorte de petit quartier hors-la-loi où s’entassent criminels, réprouvés et autres marginaux."
J'aime bien quand la journaliste dérape et dans une même question vouvoiement et tutoitise Mathieu comme ça tranquiloo dans le Figaro... comme pour ce qui se passe entre les pattes de Gérard pendant 5 ans, se sera débattu et mille formé lors d'un prochain tête-à-tête.
Allez, on réinvite Mathieu les 7 & 8 octobre pour les 24 heures de BD au Musée ?
"INTERVIEW - Entre BD jeunesse, humour et reportage, l'auteur de Gérard, cinq années dans les pattes de Depardieu, expose tout son talent au festival BD à Bastia. Il revient, pour Le Figaro, sur un parcours qui ne se limite à aucune frontière..."
La petite Bédéthèque des Savoirs ne se refuse aucun sujet, les zombies, les abeilles ou encore le conflit israélo-palestinien, le choix est large. Par l’alliance entre un spécialiste et un auteur dessinateur, les éditions Le Lombard ont trouvés l’équilibre parfait pour rendre des sujets de prime abord intellos,
Une histoire de sirène qui me fait fort envie. 19€, faut voir...
"Un récit où le dessin supplante peut-être l'écrit tant Guillaume Sorel sait jeter sur le papier des personnages et des ambiances d'une rare beauté nostalgique et éblouissante. Avec Bluebells Wood il signe en totalité une balade imaginaire, ou pas, fantastique, à coup sûr, un délire amoureux passionné. Le triste"
Mathilde Domecq a signé l'affiche de cette édition 2018 des 48H BD. On en connait le but, permettre au plus grand nombre l'accès au 9e Art en proposant des albums au moindre prix. Cette année les 48H ont lieu les 6 et 7 avril. Créées en 2013, les 48H BD sont aujourd’hui un événement culturel majeur de l’univers de la
Une Turquie qui a été le leader de la laïcité, du droit des femmes, de l'indépendance nationale, de l'instruction pour tous, une Turquie libre, c'était celle de Mustafa Kemal, celle d'Atatürk. On l'a oublié aujourd'hui, même pas pudiquement. La Turquie d'Erdogan, ce n'est pas celle d'Atatürk. Dans Le Père Turc de
"Ce que nous vivons en ce moment en Turquie me déçoit. J’observe des comportements inquiétants, j’entends des gens dire sans honte: » Moi je ne lis plus de livres » ou d’autres exprimer de la haine pour des nations dont le plus souvent ils ignorent tout, ou encore avoir une opinion confuse sur les femmes qui rentrent chez elles tard le soir…Même les gens très bien qui se disent » progressistes » ne perçoivent plus à quel point leurs positions sont conservatrices. La vie quotidienne suffit à nourrir mes histoires de nouvelles idées ! »
Une BD dystopique sur l'état de notre de jardin et les mains entre desquelles nous le laisons.
A lire, avec beaucoup de sel de céleri :
"L’ambiance oppressante et angoissante du récit est magnifiquement mise en image par Régis Penet. Les couleurs sont froides parce que le monde se meurt et seules les tomates arborent une chaude, le rouge. Sur les visages des personnages de l’auteur de Koba (avec Jean Dufaux) sont impassibles, ne laissent rien transparaître ni joie ni peine, comme les habitants du troisième cercle, à jamais tristes. Le découpage et les cadrages sont classiques mais redoutables d’efficacité."
Alors ça alors, il ferait bien de faire un numéro spéciale Chantal Montelier vu que toute la fin du papier et des commentaires li sont dévolus.
Je crois que c'est pour ça que je l'aime: même pas là elle emmerdouille ce petit monde. Et ça ça est bon.
180 pages pour patienter jusqu'en 2059 !
On va se mettre ça sous le coude et le ressortir pour les diners en ville !
S.O.S BOHNEUR, la suite !
De l'anticipation pure, dure et presque en train de décrire les temps présents semble t il ...
Donc de la BD et de la Chine, à lire.
"Un thriller d’anticipation dans lequel il imagine les effets dévastateurs d’un immense black-out numérique. "
On va pas bouder son plaisir, le thème est dans l'air du temps et lapatte de Bilal donne envie d'en lire plus
De la BD mais aussi de la poésie et un peu de peinture
"Avec ses visages taillés au couteau, marqués, cernés de noirs et blancs parfois teintés de rouge, qui font parfois penser au trait de son compatriote Breccia, Comotto réussit son pari. Donner de la chair à des idées et faire de cette histoire universelle, la lutte pour la justice et les droits humains l’histoire de chacun…"
Bim, la baday mène à tout ;)
"À 47 ans, après une vie de bandit de grand chemin, surtout ceux où circulaient des fourgons, et après avoir payé pour ses crimes -une trentaine de braquages au compteur quand même dans les années 90-2000-, l'enfant terrible du Brabant wallon a rangé les Kalach, les cagoules et les bouffées d'adrénaline pour se consacrer à une passion pour l'art qui couvait de longue date -il sera même éditeur et marchand de planches originales de BD lors de sa cavale-, et achever enfin de transformer la chrysalide en papillon."