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“Il n’y a qu’à l’étranger que je suis français,” dit Amar Mekrous, 46 ans, qui a grandi en banlieue parisienne auprès de parents immigrés. “Je suis français, je suis marié à une Française, je parle français et je vis français. J’aime la bouffe, la culture françaises. Mais dans mon pays, je ne suis pas français.’’
Pour elle [Rama Yade], l’accent que met la campagne présidentielle sur l’immigration est “la consécration de 20 ans de pourrissement” d’une culture politique obsédée par l’identité nationale.
Sans commentaire.
Immersion à venir. 5 épisodes de pure découverte.
En mars et avril 2021, un groupe de personnes, pour l'essentiel appartenant aux mondes des arts, de la culture ou de l'université, décide de commencer à sortir de son ignorance quant à l'histoire du continent africain et des sociétés qui l'habitent. Elles se regroupent et demandent à Amzat Boukari-Yabara d'en assurer le contenu.
Ce sont donc 5 dimanches successifs où, grâce à la complicité de l'Atelier du Plateau (Paris 19e) et de La Générale (Paris 14e), il a été possible de se retrouver pour recevoir cet enseignement et en discuter.
Chacune de ces interventions a été retransmise sur ∏node et ce sont ces documents qui sont ici proposés à l'écoute.En guise d'épilogue, un entretien avec Fanny Pigeaud, journaliste indépedante, collaboratrice régulière de Médiapart sur les questions africaines.
"La Chine mène depuis les années 2010 une stratégie d'expansion de ses médias sur le continent africain. Un moyen d'améliorer l'image du pays, notamment en temps de crise sanitaire, mais aussi d'affirmer sa présence et sa puissance aux yeux de la communauté internationale. "
"La crise sanitaire liée au coronavirus qui touche la planète depuis près d’un an a aussi été une occasion pour la Chine de mobiliser ses outils médiatiques et d’intensifier sa stratégie d’influence informationnelle sur tout le continent africain."
Article du 13 novembre :(( !!! ATTENTION !!!
Strictement rien à voir avec le marque-page précédent .......................................................................................................................................................................................................................................................................................................................................... STOP .................................................................................................................................
"Situé sur la côte orientale du continent africain, ce grand pays multiconfessionnel de plus de 30 millions d’habitants est l’un des plus pauvres et des moins développés au monde. Et pourtant, ses sols regorgent de richesses naturelles avec notamment d’immenses réserves de gaz qui attirent les plus grandes compagnies internationales dont le groupe français Total. Elles se trouvent au large de province de Cabo Delgado dans le Nord-Est. La zone est donc stratégique pour l’exploitation et l’exportation gazière."
Article de JUIN 2020 !!! ATTENTION !!!
Ah, la "liberté énergétique" de #LaFronce n'a pas de prix ! Et si ça se trouve, "Les amis de la terre" sont de dangereux terroriss !
« Les pouvoirs publics français se sont activés depuis plusieurs années pour que les industriels du gaz […] et leurs banquiers profitent de l’eldorado gazier à 60 milliards de dollars au Mozambique, contribuant ainsi à enfoncer le pays dans la dépendance aux énergies fossiles », affirme les Amis de la Terre dans un rapport intitulé « De l’Eldorado gazier au chaos : Quand la France pousse le Mozambique dans le piège du gaz ».
Est ce que tu savais-tu correctement cette histoire ?
"Au lendemain de la Première Guerre mondiale, quelque 100 000 soldats français sont envoyés en Allemagne pour occuper la Rhénanie. Environ 20 000 d'entre eux sont issus des colonies françaises, notamment de Tunisie et du Maroc. Rapidement, ces hommes sont la cible d'une campagne de diffamation qui fait la une des journaux du monde entier sous le slogan "La honte noire"…"
"Le président congolais Félix Tshisekedi s’est jusqu’à présent contenté d’exprimer un souhait de principe en faveur des restitutions. Aucune demande officielle n’a été formulée. En Belgique, la Chambre des représentants a nommé depuis cet été une commission spéciale de dix experts chargée de se pencher sur le passé colonial du pays."
Un peu d'Histoire contemporaine.
"Dans les années 1880, le sud du Soudan est le théâtre d’une rébellion menée par le charismatique Muhammad Ahmad. Élevé au rang de mahdi ("sauveur de l’islam"), ce dernier s’attaque avant tout à l’autorité coloniale européenne et aux réformes économiques britanniques. Sous l’impulsion de ce nouveau chef, un État théocratique est instauré : toute forme d’art et toute marque d’opulence sont interdites. Pris dans ces bouleversements, le gouverneur Rudolf Slatin doit se convertir à l’islam et est emprisonné. À la mort de Muhammad Ahmad, en 1885, il s’échappe et parvient à rentrer en Europe. Après s'être lié d’amitié avec la reine Victoria, il va conseiller les forces britanniques qui cherchent à reconquérir Khartoum et sa région."
Pas près de voir cet opéra "aux groove futuristes". Patience...
"« C’est l’histoire qui va nous juger. Jusqu’à présent, vous voyez bien que l’Europe compte toujours, elle contrôle toujours. Nous sommes toujours dans le même bateau. Dans le spectacle, je dis : ils sont venus, ils avaient la Bible et nous on avait la Terre. Ils nous ont dit de prier ensemble les yeux fermés. Mais lorsqu’on a ouvert les yeux, ils avaient la terre et nous la Bible ! Peut-être que si l’Afrique n’avait pas été colonisée par des financiers et des capitaines d’industrie qui voulaient nos matières premières, l’Afrique et l’Europe seraient autres aujourd’hui. On ne le saura jamais… »"
La playlist de Sourdoreille pour passer de biens bons moments !
"Descriptif rapide ?
Guimba ne passera peut-être pas le nouvel an en France sauf si...
Complétez vous-même avec tous les moyens d'action à votre disposition."
"Dijon, sa moutarde, ses nonettes et maintenant son préfet qui monte la garde, grrrrr, prêt à en découdre avec les associations, les collectifs, les dangereux ennemis de la Loi, les dépenaillés classés à Dijon en deux catégories sociologiques par la préfecture et l'hôtel de police, les vieux gauchistes ou les jeunes-anars-des-Tanneries. Si vous êtes un nouvel arrivant dans cette ville, il faudra vous habituer à tous ces éléments de langage presque aussi sacrés que le kir et le pain d'épices."
Site remarquable que j'ai utilisé pour prérarer une heure en compagnie d'élèves de CE1 !
SANS VOIX ET SANS LÉGENDE.
Je laisse ça ici au cas où vous auriez la curiosité d'aller plus loin...
Le Quotidien d’Algérie, 16/09/2018
Atlas Times (en arabe) ; 17/09/2018
El Bilad (en arabe), 18/09/2018
Reporters-DZ,19/09/2018
El Watan, 20/09/2018
El Watan, 21/09/2018
L’ExpressDZ, 20/09/2018
ALG24, 27/09/2018
Liberté (en arabe
El pueblo unido & Rock the casbah en-chantent l'Algérie.
"Dignes héritières de la lutte #anticoloniale dans les clubs de foot, les tribunes des stades algériens sont un #laboratoire de la #contestation (...)"
Écoute et partage !
"La domination coloniale a aussi été une domination linguistique. Seule langue enseignée dans les écoles, admise dans les tribunaux ou utilisée dans l'administration des territoires colonisés, le français a été le vecteur d’une déculturation encore visible." #gracely #kiffetarace #rokhayadiallo
"Dialogue entre deux spécialistes de la culture et de la philosophie africaines portant sur les traditions philosophiques de l'Afrique et sur les sujets du postcolonialisme ainsi que de l'afrocentrisme. Ils s'interrogent sur la possibilité de trouver des similarités entre des cultures éloignées les unes des autres ou encore sur l'existence d'une philosophie africaine musulmane." ©Electre 2018
Retour 45 ans en arrière mais en fait c'est bien d'une musique du présent dont il s'agit. Et pour le futur, #BienDanser !!!
"Ghanaian band Basa Basa Soundz started out as one of the house bands in Accra's legendary club the Napoleon in the early '70s. With the assistance of Fela Kuti they recorded two albums in Nigeria before reinventing themselves as Basa Basa Experience, teaming up with South African producer and multi-instrumentalist Themba 'T-fire' Matembese to record their final album, Together We Win aka Homowo."