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« Si l’art consiste à établir ou à briser des règles esthétiques, alors l’art de l’IA, tel qu’il est pratiqué par la droite, affirme qu’il n’y a pas de règles, mais l’exercice pur et simple du pouvoir par un groupe sur un groupe extérieur. Il affirme que la seule façon d’apprécier l’art est de savoir qu’il fait du mal à quelqu’un. Cette blessure peut être directe, ciblée sur un groupe particulier (comme la propagande de l’IA de Britain First), ou elle peut être dirigée contre l’art lui-même, et par extension, contre quiconque pense que l’art peut avoir une quelconque valeur. »
Une raison de plus pour résister !!
Trois artistes ukrainiens
Quelle collection !! Merci Nono pour la découverte, plus d'info sur son shaarlu à m0le.net
Art primitif vu du ciel
Jace et son célèbre Gouzou font partie du patrimoine de La Réunion, et de mon salon !!!
ZOMBIES est un spectacle grinçant qui joue avec la figure du Zombie pour questionner avec humour et poésie nos rapports au smartphone, au transhumanisme et à notre propre fin.
Et pour écouter le metteur en scène dans l'émission LSD de France Culture : https://www.franceculture.fr/emissions/lsd-la-serie-documentaire/la-mort-vivante-24-obsession-vampire
Pour aller plus loin et complèter cette découverte, cet article https://heyme.care/fr/blog/smombie-quand-ton-smartphone-te-transforme-en-zombie explique ce qu'est le smombie :
Le terme smombie désigne les utilisateurs de smartphones sur la voie publique, indépendamment du trafic ou des dangers possibles que cela pourrait entraîner aussi bien pour eux que pour les usagers de la route : automobilistes, cyclistes, conducteurs de transports en commun, etc. On peut les reconnaître immédiatement, par leur comportement et leur dépendance compulsive : la tête baissée, le dos voûté et les yeux fixés sur leur smartphone. En France, les chiffres sont alarmants. On compte environ 475 victimes en 2018.
Est ce que la Région BFC est engagée dans le même type de démarche. Ça pourrait être une valeur ajoutée d'en avoir une devant le musée !
Après s'être intéressée à des traditions aussi particulières que le fameux Jour des morts, typique de la culture mexicaine, ses efforts picturaux semblent dorénavant se focaliser sur l'absurdité de notre XXIe siècle hypermédiatique, sur sa vulgarité et sa folie normative. Un univers de câbles et de rouages dans lequel notre humanité achève de s'effondrer, engloutie sous la pression des algorithmes et de la spéculation.
Ses dessins sont vraiment saisissant pour ce qu'ils présentent d'excès. Mais encore une fois, la messagère n'y est pour rien si c'est violent, dur ou... excessif. C'est bien de la réalité vécu par une majorité de l'humanité dont mette en lumière les dessins de cette artiste.
Sa série de collages “Femme-Maison”, questionne l’image de la femme contemporaine, forte, libre et autonome, capable de porter sa propre architecture sur soi… sa maison.
Ouvert en 1983 au public, La Fabuloserie est un lieu imaginé et conçu par l'architecte Alain Bourbonnais pour abriter sa collection d'art hors-les-normes. Situé à Dicy dans l'Yonne, il abrite plusieurs centaines d'oeuvres allant du simple dessin aux sculptures monumentales. Dans le parc attenant, les visiteurs peuvent découvrir l'impressionnant manège construit par l'artiste Pierre Avezard dit "Petit Pierre".
Petit Pierre, quel ravissement !
Magnifique et d'une richesse tellement moderne. Tremblez brave gens, le gothique tardif est à la manœuvre !
Farfouillis de liens délicieux sur l'art numérique qui n'existe, mais qui parfois n'existe plus.
"Le président congolais Félix Tshisekedi s’est jusqu’à présent contenté d’exprimer un souhait de principe en faveur des restitutions. Aucune demande officielle n’a été formulée. En Belgique, la Chambre des représentants a nommé depuis cet été une commission spéciale de dix experts chargée de se pencher sur le passé colonial du pays."
from Stef Bloch - Filmmaker on Vimeo
Ça alors, il s'en passe de belles aux pays des Ducs de Bourgogne !
Les angelots, bien sûr !
"Berceau de créateurs et créatrices en tout genre, creuset d’un style avant-gardiste devenu international, idéal d’un design pour toutes et tous, école mythique aux enseignants uniques… le Bauhaus suscite toujours notre curiosité. Lionel Richard, fin connaisseur de l’école, de ses protagonistes et de l’Allemagne d’alors, retrace les circonvolutions de sa pédagogie étroitement liée aux personnalités disparates et singulières de son corps enseignant, parmi lesquelles Walter Gropius, Johannes Itten, László Moholy-Nagi, Josef Albers, Hannes Meyer, Ludwig Mies van der Rohe…"