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Voilà voilà...
Du coté des populations, les thèses russo-chinoises, relayées efficacement dans les médias sociaux, ont d’autant plus d’influence qu’elles réactivent un sentiment anti-impérialiste et anticolonialiste qui couve depuis longtemps. Ni l’origine de cette guerre ni son déroulement ne sont vues de la même façon qu’en Europe ou aux États-Unis.
Les thèses occidentales sont jugées hypocrites de la part de des pays qui n’avaient pas hésité dans le passé à lancer leurs propres invasions (guerre en Irak notamment) et à rejeter les réfugiés du Moyen-Orient. L’opinion publique en Inde et en Indonésie est particulièrement sensible à cette thématique tiers-mondiste et anti-occidentale
On se souvient de l’enthousiasme du président philippin Rodrigo Duterte, qui considérait Poutine comme son héros préféré, avant de changer d’avis après le début de la guerre en Ukraine.
Hum, ce Duterte est le gars qui finance des milices qui assassinent les toxicomanes philippins. No comment :((
Quand le plateau du Risk voit ses acteurs et ses cartes être redistribués et consolidés...
Si l’Occident, en particulier les États-Unis, souhaite équilibrer la présence et l’influence potentielles de la Chine en Iran sans s’engager dans un jeu à somme nulle, il doit commencer à considérer l’Iran comme un élément clé d’un contexte géographique plus large plutôt que de le considérer uniquement à travers le prisme de la politique du Moyen-Orient et du golfe Persique. Il devrait également se rendre compte que dans un environnement international modifié, l’Iran dispose de quelques options autres que celles de l’Occident.
Après plus d’un an de quasi-fermeture de ses frontières, Pékin veut faciliter l’entrée de certains ressortissants étrangers et voyageurs. Ceux-ci devront néanmoins être vaccinés avec un sérum chinois pour entrer dans le territoire, alors même que les produits chinois ne sont pas homologués, et donc indisponibles, dans la plupart des pays occidentaux.
Pour Nicholas Thomas, professeur en sécurité sanitaire à la City University de Hong Kong, la Chine voit plus large. Elle anticipe la création d'un passeport vaccinal global chapeauté par l'OMS, dont elle ne veut pas être exclue.
Le gars de 21 ans vient d'assassiner 8 femmes dans 3 salons de massage et
Pour le moins maladroitement, le porte-parole de la police qui a donné les premiers détails de l'interrogatoire, a décrit le suspect comme quelqu'un qui souffre d'une addiction au sexe et qui a eu "une mauvaise journée"
Infos à recouper pour En saisir les subtilités.
- Après des implications directes et indirectes dans la tragédie passée du Cambodge en soutenant le régime génocidaire des Khmers rouges et l’embargo contre une administration qui a aidé à sauver le peuple cambodgien du génocide, de nombreux pays de la communauté internationale, y compris l’Union européenne elle-même, ont contribué à apporter la paix, la démocratie, le progrès social et la prospérité économique au Royaume. Ces efforts devraient être soutenus plutôt que revenir à la répétition des erreurs du passé.
J'adore ce type d'ouvrage de bande dessinée. On l'ouvre sans aucun préjugé et tant mieux. Pour ce qui est du graphisme, du dessin ou de la mise en case, je vous laisse seul juge. Mais pour ce qui est de la narration et du voyage presque initiatique oú Simon Hureau / Limu Goma nous emmène, c'est époustouflantc et dense.
Pas de spoïl comme on dit mais pour qui est curieux de ces affreux petits hommes qui ont effroyablement fait l'Histoire à coup de machettes, ce récit graphique est pour vous.
Et pour bien faire les choses je suis en possession d'un autre ouvrage de Simon Hureau, "Le musée insolite de Limul Goma - HAUTES OEUVRES - Petit traité d'humanisme à la Française " (À SUIVRE)
Politique et poétique, Happiness Road est un éloge animé de l’enfance, de la vie et du bonheur. Beaucoup de bonheur.
Témoignage intéressant.
"" J’avais quitté la tempérée, ordonnée et grouillante Kunming, capitale du Yunnan (en Chine), et en deux heures de vol, m’étais retrouvé dans la pétulante saison des pluies à héler des voitures que je croyais être des taxis.
Ma première incursion asiatique remonte au mois de juillet 2014. Depuis, j’y suis retourné cinq fois et y ai séjourné plus de huit mois. ""