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Comment les policiers sauront-ils faire la différence entre des mèmes ou des blagues sur la drogue ou encore des extraits de films ou de clips sortis de leur contexte ? Et surtout, en quoi le retrait de ces contenus auraient véritablement un impact sur la problématique sociale de la consommation de drogues, qui repose sur tellement d’autres facteurs ? Les décennies passent et pourtant le réflexe inutile et dangereux de censurer et verrouiller les moyens de communication ne s’est manifestement pas perdu.
Yolo :! Ça n'est plus un festival, mais un championat du monde !
Jusqu'où s'arrêteront-ils ?
Trump inspire nos vieux kapos. La dystopie a déjà traversé l'Atlatantique depuis perpet...
Quelques brillantes réflexions à propos des addictions dues aux objets temporels et à l'abandon de conscience.
D'ailleurs ce site 'toupie' est une vraie mine d'or.
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dis
pensable
Psycho-pass - Philippe Aigrain - Catherine Dufour
Google est désormais ce qui façonne non seulement les vies individuelles des consommateurs que nous sommes, mais aussi la vie sociale et politique globale. Géopolitique, même. Vision paranoïaque ? Qu’on en juge plutôt.
Article à lire, maiis vraiùent aucun rapport avec le qrcode qui serait le nom de quoi-que-ce-soit. Titre à côté de la plaque. Ou alors fait exprès pour que je, tu, ils cliquent...
De la fabrication d’un smartphone à l’alimentation d’un centre de données, le numérique a un impact négatif croissant sur notre environnement. Pour y remédier, il faut promouvoir la sobriété numérique. L’idée : interroger nos besoins en matière de numérique et raisonner nos usages. Chez vous, cela peut commencer par quelques gestes que nous vous présentons dans ce troisième article de notre dossier spécial « Transition écologique et sobriété » réalisé en partenariat avec l’ADEME, l’Agence de la Transition Écologique.
Des recommandations (de bon sens) loin d'être inutiles. Mais qu'en est-il des engagements industriels disruptifs (!!!) d'avec le modèle carnassier qui consiste à sur-exploiter la ressources en faisant porter la responsabilité aux usagers-consommateurs ?
Interrogé sur les moyens d’éviter que nos données, une fois nos téléphones portables piratés, ne deviennent des armes braquées contre nous, M. Edward Snowden a déclaré : « Que peuvent faire les gens pour se protéger des armes nucléaires ? Des armes chimiques ou biologiques ? Il y a des industries, des secteurs, pour lesquels il n’y a pas de protection, et c’est pour ça qu’on essaye de limiter leur prolifération. »
Ça pourrait presque être qualifié de "principe de précaution" cette mise en garde. Et voilà uen réponse sociétale en forme de déni... Puisque je n'ai "rien à cacher", pourquoi réfléchir plus longtemps !
Encore et encore des notes de lecture d'un article hypra-pertinent par Hubert Guillaud, rédac chef d'InternetActu :
La diffusion du logiciel libre et ouvert, n’a pas fait passer le monde de droite à gauche. Au contraire même. Aujourd’hui, le libre et l’ouvert sont adoptés par tout le monde et notamment par les services publics et les plus grandes entreprises, mais plus pour limiter leurs coûts de développements qu’autre chose.
Le logiciel libre est ainsi utilisé à la fois pour produire Wikipédia, mais également pour optimiser le tir de drones ou l’emprisonnement des migrants !
Enfin, le numérique, aujourd’hui, est un projet industriel et un projet industriel n’est pas de gauche : il vise à faire du profit, diminuer les coûts, et notamment les coûts sociaux, et invisibiliser les coûts environnementaux.
Notes de lecture de ce passionnant article.
À propos du présent
Ces technologies sont-elles si « efficaces » que cela ?
[... ]quoi de plus efficace que de forcer les individus et les organisations à penser elles-mêmes comme des censeurs ? Est-ce que l’existence même d’un système comme le crédit social ne joue pas exactement ce rôle : inciter les individus à se conformer ?
À propos du passé
Ayn Rand a écrit (Atlas Shrugged - La grève), dix ans avant Orwell et donc avant la Seconde Guerre mondiale, un roman de science-fiction décrivant une contre-utopie totalitaire. Contrairement à eux, elle a aussi décrit l’idéologie politique qui, selon elle, constitue la réponse à la menace totalitaire : l’objectivisme, qui promeut l’individualisme et la liberté, notamment économique, à tout prix. Rand est une égérie pour le mouvement libertarien qui prend de l’ampleur aux États-Unis à la fin du XXe siècle, incarné par des figures comme Alan Greenspan
4 épisodes pour faire un état des lieux et acérer une critique radicale de ce cul-de-sac :((
L’avenir s’écrit dorénavant en Chine. Mais quel avenir ?