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Cet article peut être un outil de discussion avec nos amiEs antivax. Peut-être...
D'ailleurs, j'avoue, j'ai déjà mis la petite cuillère dans le goulot, et je crois avoir conseillé à maintes reprises de ne pas se baigner après le repas. Pourquoi ? Aucune idée, sinon le mimétisme, l'habitus, la moutonerie, le manque de réflexion...
Souvenez-vous aussi que la plupart des gens que vous fréquentez uniquement en ligne, via vos interactions sociales, ne se résument - heureusement - pas uniquement à ce qu'ils et elles partagent en ligne. Vous ne voyez d'elles et eux qu'une version amputée de toute profondeur, où l'elliptique tient lieu de dialectique.
Toujours autant de plaisir à lire ces articles, et surtout toujours autant de réflexions urgentes et nécessaires !
Nous vous invitons à continuer à nous lire bien sûr et surtout à nous partager, à nous aider à nous faire découvrir à de nouveaux lecteurs encore et toujours, à nous référencer… Nous espérons surtout que nos propos génèrent plus de discussions demain qu’aujourd’hui, parce que plus que jamais le numérique nécessite d’être débattu, mis en question, critiqué.
En voilà du retour d'expérience et de la sagesse à remettre sur le métier.
L’évaluation, il faut l’imaginer à tiroir et en continue : J’évalue le niveau préalable de l’apprenant, puis j’évalue ses besoins, puis j’évalue les objectifs à atteindre (Ils sont parfois différents des besoins, rappelez-vous les objectifs sociaux), puis je fixe le travail à accomplir pour les atteindre, puis j’évalue les évolutions en compétences et je remédie encore et encore… et grâce à cette marche montée, je recommence.
Depuis les années 1970, on assiste à des tentatives pour réinventer l’organisation du travail, éradiquer la subordination, les règles, les hiérarchies et la routine.
Mais une lecture attentive de l’histoire de ces expérimentations – en vue d’un travail défini comme créatif et libre – montre que la liberté rêvée et le prix à payer se redéfinissent au cours du temps.
"Fort de plusieurs décennies de travaux sur ce sujet qu’il a mis à l’agenda du débat public dès 1991 avec son livre La Gangrène et l'Oubli, Benjamin Stora en connait tous les pièges, et tente dans ce rapport de les déjouer. "
Oui c'est une idéologie du panoptique totalitaire ! Alors si on prend sa population en l'infantilisant, ce gadget passera comme une lettre à la poste.
Au contraire, si un débat salutaire entre adultes se tient dans les villes mais bien sûr aussi en campagne, tout le corps social en sortira instr uit et grandit.
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"Y’a-t-il une bonne et une mauvaise reconnaissance faciale ?"
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"Aux États-Unis, les initiatives dinterdiction de lutilisation de la reconnaissance faciale par la police de quelques villes américaines ( ...)"
"D'emblée, la notion d'interdit m'apparaît comme une méthode d'éducation peu convaincante; surtout à l'adolescence, période de la vie où la prohibition suscite attrait et excitation. Mais force est d'admettre que parfois, les interdictions constituent l'unique façon d'instaurer des règles et d'éviter des abus. L'invasion des cellulaires dans nos vies a ceci de troublant qu'à un âge où ils viennent à peine de délaisser poupées et camions de pompiers, des enfants, au nom du sacro-saint argument de la sécurité, se voient offrir des cellulaires sophistiqués sans autre recommandation ni conseil d'usage. "
Vraiment, ce dimanche, VOTEZ ! Et lisez cet article qui devrait vous convaincre : des humains à contrôler valent mieux que des machines incontrôlables non ?