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À l’occasion des élections des Chambres d’agriculture, L214 dévoile une série documentaire inédite consacrée au plus grand groupement agricole français : La FNSEA, syndicat de l’agriculture intensive.
À l’aide d’images d’archives, d’interviews d’éleveurs et de synthèses graphiques, les épisodes explorent de multiples facettes de ce syndicat faiseur de ministres. Il met en lumière sa restructuration de l’agriculture, ses conflits d’intérêts, mais aussi les conséquences désastreuses de son action pour les éleveurs, l’environnement et les animaux.
En explorant les coulisses de sa carrière et les réalités du succès dans l’industrie musicale, ce documentaire met en lumière les complexités d’un artiste hors-norme malgré son jeune âge, en rendant hommage à son art et à son humanité. L’occasion de le redécouvrir sous un jour nouveau.
Sarko, Khadafi,vpouah, on voudrait mieux comprendre.
Au son, des soldats russes anonymes, enregistrés à leur insu par les services secrets ukrainiens, téléphonent à leurs proches, des femmes en grande majorité. Aux avant-postes de l’invasion, leurs dialogues témoignent du succès de la propagande russe, mais aussi de la violence planifiée, notamment contre les civils (pillages, exécutions sommaires, viols, tortures…), et, plus rarement, du doute, voire de la détresse des soldats au front. Les voix « de l’arrière », elles, semblent approuver massivement, à de très rares exceptions près, les actes criminels qui leur sont racontés.
Art primitif vu du ciel
En 2021, un consortium international de médias révélait le scandale Pegasus : la surveillance illégale d’opposants, de journalistes ou de chefs d’État pratiquée par de nombreux pays via le logiciel israélien. Ce documentaire raconte les coulisses de l’enquête et expose les dérives mises au jour.
Si "America first" te fait penser à quelqu'un, ça n'est pas fortuit :((
Encore un documentaire en béton de chez Arte.
Maud et Elsa Lecarpentier, François Jarrige · Extraits de la bande dessinée "Toujours puce, les macrodégâts de la microélectronique"
La supposée transition numérique en cours conduit à un accaparement croissant de l’eau, accentuant les dynamiques anciennes du capitalisme industriel. Seule la réduction de ce secteur, la baisse de ses productions, et la contraction des usages numériques permettrait d’enrayer la crise qui se dessine. Voilà en quelques mots l’inévitable conclusion qui surgit à la lecture de cette passionnante enquête graphique et dessinée.
Asymétrie des pouvoirs et illusions, ça illustre assez bien les blocages sociaux des temps modernes...
Au cours de l'été 1995, fidèles à ce qui est désormais une tradition, pensionnaires et soignants de la clinique psychiatrique de La Borde se rassemblent pour monter la pièce de théâtre qu'ils joueront le 15 août. Au fil des répétitions, le film retrace les hauts et les bas de cette aventure... Mais au-delà du théâtre il raconte la vie à La Borde, le temps qui passe, les petits riens, la solitude, la fatigue, les moments de gaieté, les rires, et l'attention profonde que chacun porte à l'autre...
Et donc je me suis dit “tiens, je vais faire un épisode bizarre. Un petit truc pour démarrer l’année en douceur… Je vais écouter deux personnes discuter… et puis voir ce que ça provoque, à quoi ça me fait penser….” Une petite forme modeste….
Enquête menée comme un thriller, « La Filière » raconte une histoire d’amour et d’espionnage, de secrets, de cavales et de doubles vies. L’histoire d’une famille de nazis… la famille Wächter.
Où on comprends mieux l'expression "laver plus blanc que blanc" grâce à John Le Carré. Où Rome et son Vatican ne gagne pas à être reconnu. Et où l'amour brouille plus que le discernement. Superbe enquête de Philippe Sands et narration qui tient en haleine, et apporte profusion d'informations.
Complément d'info : https://www.radiofrance.fr/franceculture/le-nouveau-podcast-de-france-culture-la-filiere-une-enquete-de-philippe-sands-8733183
Jace et son célèbre Gouzou font partie du patrimoine de La Réunion, et de mon salon !!!
Ça sort ces jours-ci mais ça m'étonnerait que ça passe en #HotCôteDor...
[...] la réalisatrice restitue le parcours de rupture de nombre d’enfants pris en charge par l’Aide sociale à l’enfance. Elle parle du ratage d’un dispositif qui ne sait pas toujours écouter les enfants, les accueillir au plus près de leurs besoins et leur souffrance. Elle parle à demi-mots de son propre sauvetage par les lettres, le cinéma, là où son frère tente de se sauver dans la fuite et le passage à l’acte.
De la culture, japonaise, à un gros câlin, mondial !
Comme vous, peut-être, après avoir vu Totoro, j’ai eu l’impression qu’Hayao Miyazaki, le réalisateur et scénariste, m’avait fait un gros câlin en me disant, courage, on est là, Totoro est là. Je suis entré dans cet univers-là et… j’avoue que j’en suis jamais vraiment sorti…
Après s'être intéressée à des traditions aussi particulières que le fameux Jour des morts, typique de la culture mexicaine, ses efforts picturaux semblent dorénavant se focaliser sur l'absurdité de notre XXIe siècle hypermédiatique, sur sa vulgarité et sa folie normative. Un univers de câbles et de rouages dans lequel notre humanité achève de s'effondrer, engloutie sous la pression des algorithmes et de la spéculation.
Ses dessins sont vraiment saisissant pour ce qu'ils présentent d'excès. Mais encore une fois, la messagère n'y est pour rien si c'est violent, dur ou... excessif. C'est bien de la réalité vécu par une majorité de l'humanité dont mette en lumière les dessins de cette artiste.
Sa série de collages “Femme-Maison”, questionne l’image de la femme contemporaine, forte, libre et autonome, capable de porter sa propre architecture sur soi… sa maison.
N’y cherchez pas un documentaire sur l’enfer des hôpitaux chinois en temps de Covid-19. H6, premier long-métrage de sa réalisatrice Ye Ye, est un essai sur le « pessimisme joyeux » des Chinois lorsqu’ils sont confrontés à la maladie et à la mort. C’est un portrait en creux de la Chine, ce Leviathan inarrêtable, dont le corps est une population « trop nombreuse » – disent les Chinois eux-mêmes -, à la fois contrainte, obéissante et pourtant libre à sa manière.
Avec cette enquête monumentale, découpée en trois parties,le cinéaste édifie pour ces souffrances et ces morts oubliées le mémorial que la Chine leur refuse.