Les makers ont du coeur !!

En août 2019, dans le cadre d’une exposition à la Maison des arts électroniques de Bâle, ils trafiquent une vieille machine Brothers des années 1980 pour réaliser d’autres essais. «Influencés par le projet All Yarns Are Beautiful, qui fournit un moyen alternatif de contrôler cette machine à l’aide d’un ordinateur, nous l’avons hackée pour qu’elle produise tous les motifs possibles, raconte Fabien Degoumois. En prenant n’importe quelle photo, le tricot du cliché se réalise.» Dans cette perspective dite d’upcycling, soit la deuxième vie d’un objet obtenue en augmentant ses fonctionnalités, leur trouvaille génère des confections dont la limite n’est que la créativité. Ils imaginent alors combiner la machine hacker avec le dispositif maker pour donner naissance à un appareil complet. Celui-ci tricoterait non seulement les formes en 3D, mais pourrait aussi effectuer n’importe quel dessin en fil.

Wow wow wow, quelle bonne idée !

Pour mon projet d'interrupteur, après le Mooc "Modéliser en 2D avec Inkscape", en avant pour FreeCad.

Nécessite du temps pour l'apprivoiser mais une fois fait le logiciel semble agréable.

Ça pourrait m'intéresser de me remettre à l'imprimante 3D !

La chaine Melkano propose une méthode de fabrication d'objets 3D plutôt originale, avec un patron. En effet on retrouve le même principe de pliage qu'en tôlerie, mais avec du PLA : Grâce à une fine couche de plastique chauffée qui sert d’arête pour le pliage, le résultat est plutôt efficace. Avec des impressions à plat, […]

"Les détenteurs d'une imprimante 3D du type de l'Easy 120 seront contents d'apprendre que 20 bouteilles de lait permettent d’obtenir 1 kilogramme de filament en plastique, qui se vend actuellement entre 30 et 50 dollars sur les sites en ligne. Reste à voir si la qualité finale du matériau est aussi bonne que celle des produits manufacturés habituels."

Ce projet permet d’imprimer des photos en bas-relief (3D) ou en figurines afin de les rendre palpables et donc identifiables pour les personnes aveugles. Avec ce procédé, ces personnes peuvent elles aussi conserver des souvenirs des moments passés. »Je ressens peut-être la même émotion que la première personne qui s’est vue sur une photographie » déclare un des participants découvrant une ancienne photo personnelle imprimée en 3D. La technologie au service de la mémoire.

"« Nous évoluons dans une ruralité active, responsable et profondément centrée sur l’humain. Le FabLab est un lieu de partage, de lien qui comble le manque de commerces, de services publics dont souffrent nos villages. »

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"La copie d'objets continue de se perfectionner à grand pas, avec le succès croissant des imprimantes 3D et les projets qui se succèdent. Alors que Makerbot a annoncé le mois dernier son scanner 3D grand public, le projet ZEUS présenté sur Kickstarter par AIO Robotics est bien parti pour dépasser largement l'objectif des 100 000 dollars de soutiens qu'il s'est fixé pour son lancement. Lancé mercredi matin, il a déjà dépassé 36 000 dollars à l'heure où nous écrivons ces lignes."

Au bout de ce lien un fichier pour une imprimante 3D...
Au final, une hélice et sa poignée pourront venir à côté des boomerangs et autres cerf-volant

"Photopolymérisation, projection, extrusion, stratoconception, fusion d’un lit de poudre, projection de liant, dépôt énergétique direct : le terme d’impression 3D désigne en fait des procédés variés. Découvrez leur principie, et leur potentiel dans cette animation signée Industrie & Technologies."

Et si je reproduis une patate, à qui dois-je verser la taxe ? Au créateur de toute chose sans doute... Ces parlementaires semblent avoir des employeurs qui ne sont plus les citoyens... >>>