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Cet outil de recherche libère la parole des jeunes. Il renforce leurs potentialités d’action et de participation, en lien notamment avec les politiques publiques les concernant.
Concrètement, ces ateliers débutent par une question : comment te sens-tu écouté, entendu et compris par les professionnel·les qui t’entourent ? La réponse n’est pas orale, mais commence par la création d’un masque en carton qui illustre le sentiment intime destiné à cette personne
Pfiou, je vais me mettre au suissien moi, traverser la BFC, puis la frontière et enfin aller me former auprès de cette travailleuse sociale.
"A l’occasion du séminaire Digital Life Lab organisé par l’Institut Télécom (voir la première partie du compte rendu), Jean-Samuel Beuscart d’Orange Labs et du Latts et Maxime Crépel du Medialab de Science Po ont présenté un travail en cours, un essai de typologie des trajectoires des amateurs sur le web 2.0 à partir de travaux réalisés sur MySpace et Flickr. Pour les deux chercheurs, le web et le web 2.0 introduisent une rupture dans les pratiques amateurs telles qu’on les observait avant. Une rupture quantitative qui repose sur la démocratisation des outils de publication (qui démultiplie la visibilité), l’intensité de la sociabilité en ligne, l’imbrication des logiques de communication personnelle et de masse (qui démultiplient les trajectoires possibles dans sa pratique), la cohabitation des pratiques amateurs et professionnelles (qui disposent de métriques communes) et la possibilité de toucher un public très large (“cette possibilité reposant plus sur des représentations que sur la réalité”, insistent les chercheurs). "
"La prolifération des plateformes participatives sur Internet suscite une implication toujours plus grande des amateurs dans la production ou le “remixage” de contenus médiatiques qui circulent et s’échangent sur le Web, qu’il s’agisse de textes, de photos, de vidéos, de fichiers musicaux, de logiciels, etc. L’objet du colloque organisé par le Digital Life Lab de l’Institut Télécom le 18 mars 2011 (voir toutes les interventions vidéos de la journée) était justement de réfléchir aux enjeux sociaux, organisationnels et culturels suscités par la profusion des pratiques amateurs dans l’univers numérique. "
Tatoeba est un outil collaboratif de traduction de phrases d’exemples (Tatoeba signifie "par exemple" en japonais). Il est un des projets hébergés et soutenus par la FSF France.