905 liens privés
"Pour quoi faire ?
Qu'ils soient issus d'universitaires, de chercheurs, de chargés de mission ou de personnes comme moi désireuses de toucher le sujet de leurs propres doigts, la littérature déborde de plus en plus d'ouvrages voire d'essais sur les tiers-lieux. Alors qu'est-ce que celui-ci apporte à l'édifice ? Franchement, je ne m'en suis pas soucié une seule seconde. Non seulement, je le faisais pour moi mais avec un peu de recul, mon initiative n'est, au final, rien d'autre qu'une "envie de faire". N'est-ce justement pas un mouvement encouragé par tous les collectifs qui font tiers-lieu ?
Bien sûr, on peut trouver plein d'autres utilités à ce retour d'exploration :
Motiver l'émergence d'une initiative
S'inspirer des expériences des collectifs visités
Ajuster le modèle socio-économique
Trouver de nouveaux leviers pour faire adhérer
Etc."
Mais cela, en vérité, vous appartient bien plus à vous qu'à moi ;)
« Créer des lieux que personne ne possède et qui sont utiles à beaucoup »
Didier Fusilier, celui de Lille 2004 ???
Quand la ville produit ce qu'elle a de meilleur dans les tripes ! La belle idée.
A en croire, les invités de l’étape, les territoires ruraux n’ont pas d’autre choix que d’innover. Simplon.co devrait bientôt installer une école de codeurs en Lozère, Erwan Kezzar, co-fondateur de l’école, rappelle que d’un territoire à l’autre les besoins divergent.
"Vous pourrez trouver une description technique du virus informatique à cette page. Il existe beaucoup de similitudes entre le virus biologique et le virus informatique.
Rappelons rapidement les propriétés que doit posséder un virus informatique :
Il s'exécute indépendamment de l'utilisateur.
Il s'accroche à un (ou à un nombre donné) type de programme et une seule fois par programme.
Il se reproduit et permet donc de généraliser la contamination.
Il est généralement très court.
Il peut-être offensif ou non offensif.
Il est en général écrit en assembleur."
"Si le "choc des cultures" est donc bien présent, c'est aux plus technophiles des médiateurs qu'il appartient de rassurer les autres : en développant une culture "d'explorateurs" émancipés on ne sous-estime pas les besoins des publics les plus dépendants, pas plus qu'on ne supprime la médiation. Il s'agirait plutôt d'ouvrir et d'assembler les lieux et les modèles pour qu'ils s'alimentent mutuellement. "
Avant la cousinade des Fablabs du grand Est le 4 juillet à Dôle, ça vaut la peine de connaître le chemin parcouru.
D'ailleurs, comme on dit chez Frama, la route est longue, mais elle est Libre !