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« Si l’art consiste à établir ou à briser des règles esthétiques, alors l’art de l’IA, tel qu’il est pratiqué par la droite, affirme qu’il n’y a pas de règles, mais l’exercice pur et simple du pouvoir par un groupe sur un groupe extérieur. Il affirme que la seule façon d’apprécier l’art est de savoir qu’il fait du mal à quelqu’un. Cette blessure peut être directe, ciblée sur un groupe particulier (comme la propagande de l’IA de Britain First), ou elle peut être dirigée contre l’art lui-même, et par extension, contre quiconque pense que l’art peut avoir une quelconque valeur. »
Une raison de plus pour résister !!
Ils ont recours à des expressions, patterns ou hallucinations typiques des contenus GenAI,
sont signés de journalistes qui n'existent pas et/ou dont l'hyperproductivité est inhumaine,
ne sont que des traductions et/ou paraphrases d'autres articles (mais sans les mentionner),
ont recours à des images générées par IA ne correspondant pas aux critères journalistiques,
alignent des poncifs lénifiants ou moralisants plutôt que de présenter et recouper des faits,
ont été publiés sur un site sans mention légale (ou fictive) et sans directeur de publication,
usurpent la réputation de « noms de domaine expirés » pour cibler Google News & Discover,
s'apparentent plus à des contenus optimisés pour le SEO qu'à des articles journalistiques.
Du problème sécuritaire, du fait qu’on surveille la vie des gens, qu’on fasse tourner des algorithmes dans l’espace public, on n’en parle pas ; on ne parle pas du fait que c’est quand même chelou de vendre des analyses de maraudage, -donc de traque des sans-abris. La moyenne d’âge des employés, c’est 25 piges, c’est hyper jeune. Les ingénieurs, je les connais bien. Ils sont très contents d’être là parce qu’ils bossent sur de l’IA, la pointe de la tech. Ils en sont assez fiers.
Et on découvre régulièrement que les machines
autonomes ne le sont en fait pas.
On apprend par exemple que la voiture autonome
nécessite une supervision humaine à distance [Le New
York Times évalue la supervision nécessaire à 1,5 humain
par véhicule autonome – ndlr] ou que les magasins
automatiques Amazon où on ne passait pas à la caisse
étaient gérés par un millier de travailleurs indiens sous-
payés, qui devaient manuellement « flaguer » les achats
des clients à travers des caméras de surveillance. Il faut
davantage d’êtres humains pour gérer l’illusion de
l’intelligence et de la machine autonome. Cela illustre
bien l’inutilité massive de ce système.
Je suis désolé, mais je ne dispose pas d’informations sur une personne nommée Grounia Soukhareva dans ma base de données. Il est possible qu’elle soit une figure moins connue ou qu’elle ne soit pas largement documentée dans les sources accessibles jusqu’à présent. Si Grounia Soukhareva est une personne contemporaine ou une figure moins connue, il est également possible que ses réalisations ou sa renommée n’aient pas encore été suffisamment médiatisées pour être incluses dans les sources consultées par l’intelligence artificielle.
Ploum raconte toujours aussi bien des histoires !! Et le froid dans le dos n'est pas loin de s'abattre sur moi à chaque fin de paragraphe.
Un aspect particulièrement malin de la plateforme est la façon dont elle gère les variations stylistiques. Vous avez trouvé une icône qui vous plaît mais vous la préféreriez dans un style différent ? Le système vous propose automatiquement des alternatives similaires dans plus de 30 styles différents. C’est comme avoir accès à une équipe de designers qui réinterprètent vos demandes selon différentes directions artistiques.
Avec ChatGPT Search, vous obtenez directement la réponse à votre question. Inutile de cliquer sur plusieurs liens avant de trouver ce que vous cherchez. Et ça, ça change tout.
Alors bien que cet outil puisse être puissant, et pertinent, quid des sources multiples ? Que veut dire "obtenir LA réponse à votre question" ? quand on enseigne le concept de "sources multiples et croisées".
Belle dé-monstr-ation !
La machine démontre des lectures et connaissances approfondies sur des sujets immenses. Une parfaite maîtrise sémantique : justesse du vocabulaire, ordre d’apparition des idées, situations sémantiques variées (dialogues, articles, démonstrations étayées plus ou moins longues, on peut lui demander une réponse en x mots ou caractères, écriture de chansons…). Elle produit en plusieurs langues. De manière extrêmement rapide, ces réponses surgissant du tac au tac.
À la une de tous les médias, le chatbot d’OpenAI n’aura pas manqué de capter l’attention des élèves, des étudiants et du corps enseignant. Indétectable par les logiciels anti-plagiat connus, il ne génère pas des extraits aspirés du Web, mais fait ses propres associations de mots et d’idées d’après des calculs de probabilités.
Ami.e.s de la création, que la force et la sémantique demeure!
Et donc, si vous voulez vous forger une idée sur chatGPT, commencez à l’utiliser pour en découvrir les forces et les faiblesses. Tirez parti des premières et soyez indulgents pour les secondes ; regardez-le évoluer, comme pour la traduction automatique. En bref, ignorez les professeurs de morale et les experts trop sûrs d’eux-mêmes et jouez avec. Amusez-vous bien !
J'ai donc commencé à m'amuser avec ce chatGPT et son pendant "image", Dall-E, depuis le site https://chat.openai.com/ et ça donne une entrée sur des champs des possibles que je ne soupçonnais pas.
ce qui motive l’automatisation, c’est précisément de ne plus avoir à s’en occuper.
Toujours aussi pertinent ce Jean-Noel Lafargue.
Très rassurant d'entendre dire que le rire sera probablement le dernier traits humains qui pourra être numérisé, mécanisé. En tout cas, épatante découverte que cette facette méconnue de l'artiste Daniel Goosens.
"C’est tout l’intérêt du livre du journaliste allemand Kai Strittmatter, Dictature 2.0, quand la Chine surveille son peuple (et demain le monde) (Taillandier, 2020), que de porter un regard bien plus large sur l’état de la surveillance en Chine. En s’intéressant aux discours, aux lois comme aux actes du gouvernement chinois, le correspondant à Pékin du Süddeutsche Zeitung dresse un constat bien plus glaçant sur la néo-dictature technologique chinoise."
AU SECOURS !!! ALERTEZ-LES BÉBÉS !!!
Vraiment, ce dimanche, VOTEZ ! Et lisez cet article qui devrait vous convaincre : des humains à contrôler valent mieux que des machines incontrôlables non ?
Déferlement de titres autour de l'IA...
L'IA, ça va, ça vient, mais si vraiment elle advient, sauve qui peut mes pingouins.
Très moyen les attermoiements des uns. Pas mal le courage de certain à dire non. Mais dans l'ensemble, les 5 années qui viennent vont être déterminantes pour les fans de Terminator....................................................................................., .....................................................nan pardon, pour nous, les Humains.
"La technologie de l’IA étant souvent utilisée de façon abusive pour aller contre les libertés des humains (par exemple, son utilisateur par les forces de l’ordre dans plusieurs pays), Microsoft s’est joint à un appel à la réglementation, en juillet dernier, pour limiter l'utilisation de la technologie de reconnaissance faciale, en exhortant le Congrès à étudier la technologie et à superviser son utilisation. Dans une autre intervention, le président de Microsoft a déclaré que sans la réglementation de la technologie de reconnaissance faciale, 2024 pourrait ressembler au roman « 1984 »."
Ouch, ça pose le décor presque autant que les élections US.
"Un pas de plus vers la théorie que l'on appelle La singularité technologique (ou simplement la singularité), concept selon lequel, à partir d'un moment précis (cette expérience?) de son évolution technologique, la civilisation humaine finira par faire l'expérience d'une croissance technologique d'un tout autre ordre et dont l'enjeu principal sera l'intelligence artificielle. "
"Dès lors, le risque évident serait la perte de pouvoir humain, politique, sur la destinée humaine."
"Comme ces initiatives sont aujourd'hui menés par des multi-nationales, voilà de quoi rassurer le chaland. Certains chercheurs ont créé un « club » destiné à regrouper les avancées dans ce domaine et réfléchir aux risques potentiels de leurs découvertes. Ce club, nommé Partnership, regroupe cinq acteurs majeurs du web puisqu’il s’agit curieusement de représentants d'Amazon, Google, Facebook, IBM et Microsoft. Ouf ?"