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Selon l’Arcom, 2,3 millions de mineurs visitent des sites pornographiques en France. L’âge moyen de la première visite ? 12 ans ! C’est plus jeune que l’âge requis pour jouer à la plupart des jeux vidéo classés PEGI 18. Clairement, il y a un problème.
Pourquoi ne pas piocher là-dedans ?
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Action Innocence vient de lancer une campagne de communication en Suisse autour d’un clip destiné à sensibiliser les jeunes internautes sur les questions de droit à l’image.
Bien sûr, le thème est récurrent : que font les jeunes de leur temps libre ? Pourquoi ils traînent ?
Guide pour les parents curieux
"Cet appel à projet est destiné aux associations qui agissent auprès de :
* la Petite enfance (de 2 à 6 ans) : les projets auront pour objectif de familiariser les enfants avec la langue écrite et l’acquisition du vocabulaire de façon ludique, en associant activement le milieu familial,
Ou
* l’Adolescence (10 à 15 ans) : les projets auront pour objectif de consolider les savoirs de base en stimulant les capacités de communication et d’expression personnelle.
Les projets peuvent notamment comprendre une composante d’utilisation de l’informatique et d’Internet et donc intéresser des EPN (espaces publics numériques) qui mènent des actions locales de prévention de l’illettrisme auprès d’enfants e"
"Enfin, dernier point : deux verbes ont fait leur apparition dans le vocabulaire de ces ados, deux verbes qui en disent long sur l’orientation que prend le numérique : "monétiser" et "sponsoriser". Certains, sans trop savoir de quelle manière, ont entendu parler de vidéos sur Youtube qui auraient enrichi leurs créateurs. Souvent, le "like", qu’il soit celui apposé sur une page Facebook ou une vidéo Youtube, est confondu avec "argent". "Quand on like, ça donne de l’argent à Facebook"."
"Cependant, même ceux qui passent plusieurs heures sur un écran n’utilisent pas d’outils, comme les marque-pages, pour rendre leur navigation plus rapide. Comme certains adultes peu expérimentés, ils se font piéger par des bannières publicitaires qu’ils confondent avec les fonctionnalités des sites. Le téléchargement accidentel de malwares et autres virus est d’ailleurs la première expérience négative citée par les plus jeunes avant le visionnage involontaire d’images pornographiques ou violentes."