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Article instructif qui mériterait d'être diffusé auprès des tous les agents.
Par contre, quand les auteures écrivent "Les malfaiteurs demandent une rançon de 2500 bitcoins, pas grand-chose à l’époque" ça me fait hum hum penser qu'elles doivent pas être au courant qu'en novembre 2019, le bitcoin était bien au plus bas en fin de cette année-là avec une valeur de +/- 7 000€, ce qui représentait quand même une "demande de rançon" de 1 750 0000 €. Quand même ! C'est vrai qu'on est à Nuit St George et que nous n'avons pas les mêmes valeurs mais ça leur vaudrait bien un prière d'insérer, ou au moins de vérifier à partir de ce site par exemple : https://www.weareclimb.fr/guides/investir/bitcoin/prix-du-bitcoin#section2
Dès qu'il s'agit d'argent public, la PQR ne vérifie plus grand-chose... Ah pardon, c'est pas le Bien Public, c'est France Télévision... Et bin alors ?
Pour l’année 2019, soit avant la crise sanitaire, l’Etat se serait acquitté de près de 800 millions d’euros auprès de ces entreprises, selon la Fédération européenne des associations en conseil en organisation. Mais dans leur livre-enquête les Infiltrés : comment les cabinets de conseils prennent le pouvoir dans l’Etat (Allary Editions), publié jeudi, les journalistes Matthieu Aron et Caroline Michel-Aguirre estiment plutôt que le gouvernement a déboursé entre 1,5 milliard et 3 milliards d’euros par an. Un «suicide assisté de l’Etat», décrivent-ils.
Conférence d'Angie, chargée de relations publiques pour Framasoft, lors du festival Les nouveaux communs (2 décembre 2020).
Laissez moi rigoler, ce monde demain est celui d'avant-hier. Boloss !
Un retour d'expérience et des remarques trempée d'expertise et d'un bon sens "scientifique". Les colibris n'ont qu'à bien se tenir. Et nous devons réfléchir et infléchir les politiques locales pour se vraiment NOURIR.
"Parmi les nombreuses prises de conscience liées à la pandémie de Covid-19, la question de l’autonomie alimentaire est probablement l’une des plus importantes. La vulnérabilité des flux logistiques, la concentration des centrales d’achat, le rôle central de la grande distribution, la spécialisation des régions sur une ou deux productions agricoles, l’importance des marchés mondialisés, font que la sécurité alimentaire pourrait bien, dans un contexte de changement climatique très rapide et de crises sanitaires, devenir un problème non seulement pour des pays émergents, mais aussi pour de nombreuses régions françaises."
"Relancer la culture locale des céréales, disposer d’infrastructures de transformation, sanctuariser des débouchés pour ces productions par des contrats locaux (cantines, EHPAD, coopératives et AMAP), mais aussi (surtout ?) stocker en permanence un ou deux ans de grain semblent être des objectifs prioritaires, plutôt que de se lancer dans un énième projet de maraichage bio."
"Ce qui doit être mutualisé, partagé, « en commun », ce sont d’abord les champs de grandes cultures pour la communauté locale, la production de grain et de paille, pas les jardins. Pour les porteurs de projets alternatifs de tiers lieux ruraux ou de villages « autosuffisants », la culture des plantes à graines devrait être une priorité collective. A l’opposé, chacun peut cultiver à son rythme un bout de potager avec des légumes pour sa cellule familiale (et, à titre personnel, je ne veux pas tenir un Soviet pour choisir ma variété de carottes)."
Voilà, on y vient. On continue l'abordage !
" Enfin, les logiciels financés pour le secteur public devraient être mis à la disposition du public sous une licence libre et open source. S’il s’agit d’argent public, le code doit être public. "
Y'a embrouille là non ?
En tout cas ça rassure de savoir que des élus courageux et pas intéressés du tout par le déploiement d'une technologie de surveillance à l'école sont en veille sur des questions très 21ème siècle. Ouf.
Dommage qu'ils soient rester en version élue 1.0 du 20ème siècle.
Eihn Wauquiez père fouettard, trankiloo la démagogie !?
Pffff
Il n'y aurait rien qui coûte ?
Le compte @vivelefeu et Le Canard Enchaîné font mentir l'adage : "À la campagne, on fait de la politique !"
Sinon sur le fond du dossier, pareil traitement, c'est monnaie courante non ?