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Et bim, dans ton éthique, les données de santé !
“Pour fonctionner, le Health Data Hub a besoin d’une autorisation [de fonctionnement] de la Cnil [la Commission nationale de l’informatique et des libertés, ndlr]. La demande a finalement été retirée par le gouvernement. Le Health Data Hub n’a donc pas d’existence légale.” Tout a commencé par la publication de ce message sur Twitter, vendredi 7 janvier après-midi par le collectif InterHop, radicalement opposé au projet, et surtout au choix du cloud de Microsoft pour héberger la plate-forme et ses précieuses données.
À peine était-il ainsi donné pour mort que le Health Data Hub suscitait déjà réactions, commentaires et articles de presse. “Coup d’arrêt pour le Health Data Hub”, titrait notamment La Tribune vendredi soir. “Le gouvernement enterre le Health Data Hub par précaution pour la campagne présidentielle. Des dizaines de millions d’euros dépensés pour rien. Une équipe dégoûtée qui ne reviendra pas”, a réagi, en partageant cet article, le désormais très médiatique médecin Martin Blachier. “On peut s’interroger, en l’état, sur l’avenir du Health Data Hub […] L’avenir est-il à la création d’une base centrale ou plutôt sur des appariements locaux et ponctuels (avec un régime adapté) ?” s’interroge de son côté le juriste Thibaut Douville sur Twitter.
Un arrêté en cours d’instruction
Pourtant, selon la directrice du Health Data Hub, Stéphanie Combes, la plate-forme est bel et bien vivante. “Nous ne sommes en effet pas à l’arrêt”, a-t-elle précisé à Acteurs publics, mais plutôt en attente. Comme depuis un an et le déclenchement de l’instruction des textes organisant de façon pérenne la gouvernance, le fonctionnement et l’accès aux données de santé de la plate-forme, mise en route de façon anticipée et dérogatoire au début de la crise du Covid-19.
Si le décret final a bien été publié en juin, un autre texte est encore attendu pour véritablement lancer la plate-forme et libérer son plein potentiel. Cet arrêté était prévu pour le mois d’août 2021. Toujours en cours d’instruction par la Cnil, il doit détailler la composition de la base de données principale du Health Data Hub, ainsi que la liste précise des bases de données qui pourront être directement copiées pour faciliter leur accès.
En parallèle, une demande – retirée à la surprise générale, a-t-on appris vendredi – avait été déposée auprès de la Cnil pour autoriser opérationnellement cette centralisation de données de santé inédite sur la plate-forme hébergée sur le cloud de Microsoft. Un choix d’hébergeur vertement critiqué pendant la crise sanitaire, alors que le gouvernement se positionnait en défenseur de la souveraineté numérique pour son application TousAntiCovid. Et surtout compromis par une décision de la Cour de justice de l’Union européenne et contesté par la Cnil elle-même, ce qui laisse certains connaisseurs du dossier penser que le gouvernement aurait préféré retirer cette demande d’autorisation en anticipation d’un refus du gendarme des données personnelles. D’autant que la solution de secours sur laquelle misait le gouvernement pour garantir la protection des données de santé, à savoir l’offre de cloud “Bleu” construite par Microsoft avec Orange et Capgemnini, en accord avec la nouvelle doctrine “Cloud de confiance”, n’est toujours pas sortie de terre.
Retrait temporaire
Le Health Data Hub (HDH) assure de son côté avoir retiré “temporairement”, et en accord avec le ministère des Solidarités et de la Santé, sa demande d’autorisation pour héberger la base principale du Système national des données de santé, (le SNDS, absorbé par le Health Data Hub) et les bases du catalogue dans la plate-forme technologique, et ce simplement “dans l’attente de la finalisation de l’instruction par la Cnil de l’arrêté définissant la composition de ces bases”. Une simple affaire de tuyauterie réglementaire, en somme.
Quoi qu’il en soit, la plate-forme n’a en aucun cas cessé d’exister. “Ses équipes sont mobilisées pour faire fonctionner la structure et accompagner des projets de recherche”, précise le Health Data Hub. Elle ne fait que continuer à fonctionner comme elle le faisait jusqu’à maintenant, en mode “pilote” et au ralenti. Le Health Data Hub “met à disposition les données aux projets autorisés, un par un, cumulant donc les délais réglementaires d’obtention des autorisations pour les projets avec les délais de contractualisation et de mise à disposition puisque, pour chaque projet, une extraction doit être produite au niveau du producteur de données, puis transmise au HDH”, ajoute l’institution.
La centralisation devait justement permettre de contourner cette procédure très contraignante et de réduire “les délais de mise à disposition actuellement estimés entre six et neuf mois, voire dans certains cas plusieurs années”. Aujourd’hui, seule une poignée de projets, sur les 55 accompagnés par l’équipe de la plate-forme, ont déjà accès à ses données de santé et à ses outils de traitement. Pour rappel, le projet avait été initié en 2018, après le lancement de la “stratégie nationale en intelligence artificielle”, et une première version de la plate-forme avait vu le jour début 2020 pour concrétiser une dizaine de projets de recherche pilotes.
En attendant, plusieurs acteurs et collectifs ont pris les devants pour en appeler, déjà, ou encore, à une remise à plat du projet, tant au niveau de la gouvernance que des choix techniques. Le député MoDem Philippe Latombe, qui suit le projet de près depuis son lancement, notamment dans le cadre de sa mission sur la souveraineté numérique, a ainsi déploré le “temps perdu” pour la réussite de ce projet, dont il ne remet pas en cause l’objectif initial.
“Du choix malheureux de Microsoft à l’incapacité fonctionnelle du HDH, ses promoteurs ont accumulé erreurs stratégiques et techniques, sans avoir l’humilité de se remettre en question, persistant dans le déni et se refusant à envisager une alternative. Il existe pourtant des solutions nationales souveraines et fonctionnelles, comme le Ouest Data Hub ou l’Entrepôt des données de l’AP-HP, qui sont d’ores et déjà opérationnelles et conformes aux attentes de la Cnil, et aux intérêts des Français”, a-t-il réagi. Et de conclure : “Et si on en profitait pour faire confiance à l’écosystème français du cloud... par appel d’offres ?” Il faudrait encore, pour cela, que la Cnil finisse par rendre son avis sur l’arrêté “Health Data Hub”, et surtout qu’elle s’y oppose.
Alors que nos données de santé sont plus protégées que jamais depuis le Règlement général sur la protection des données (RGPD), elles ont été rendues plus disponibles que jamais, que ce soit via le passe sanitaire comme via les bases de données créées à l’occasion de la crise sanitaire.
L'espace de santé numérique sera déployé pour tous le 1er janvier, annonce Olivier Véran | Les Echos
Les personnes qui ne veulent pas de cet espace numérique de santé auront un délai d'un mois pour s'opposer ce qu'un espace soit créé à leur nom, a rappelé Olivier Véran. « Il faudra du temps, vous l'imaginez bien, pour que chacun s'acclimate et apprenne à s'en servir », a souligné le ministre.
Sur FB le lien des anti pass sanitaire : https://www.facebook.com/search/top?q=anti%20passe%20sanitaire
L'INTRODUCTION
Je voulais mettre cette phrase introductive en nota-bene à la toute fin de la tartine qui suit mais comme j'imagine que certainEs ne liront pas mes propos jusqu'au bout, je reprécise que par ma prose, "je suis responsable de ce que j'écris mais pas de ce que vous comprenez". Pour aller plus loin, il faudrait débattre, et pour ça... re-tenter de se parler à bâton rompu. À bon entendeur, ceux qui vont mourir te salue !
LA LITTÉRATURE (dont on ne sait jamais avant, ce qu'on va écrire, après)
C'est advenu hier après que l'horloge du temps universel est sonné les 13 coups fatidiques.
Räprézente le 1984 staïle - Orwell, avec nous !!!
Donc, la dictature techno-macronienne est enfin en place. Ouf, j'ai bien cru jusqu'au bout que ça aussi, ils allaient le rater. Mais le père Ubu dans son allocution babilée et lucarnisé a remis les coins dans les fentes, frappant dessus comme un enfant unique bien trop gâté. Choupinou. Manquait plus que des poneys qui vomissent des arc-en-fiel.
Article unique : Dorénavant pour aller dans la galeurie marchandeu, au cinéma-pop-corn, dans un restaurant-qu-réchauffe-des-poches ou je ne sais où, le quidam moyen (le quidam est toujours moyen ^^), le gens-de-base devra donc porter sur lui le qr code qui va bien, ou l'application téléphonique ou ce qu'il veut tant qu'il prouve une injection récente des larmes de la pauvre industrie pharmaceutique dont le cousin d'Emmanuel notre employé doit être actionnaire.
En somme, il va falloir un ausweis pour circuler.
Et comme sur le ouèbe, la citation est la règle, rappelons dans la langue de Fritz Lang et de Karl Valentin que "Sie haben ihn um seinen Ausweis gebeten" ça veut dire "Ils lui ont demandé ses papiers." Habituez-vous, mais pour vivre avec son temps, préférez plutôt 他们要求他出示证件 o_O !!!
Alors je t'entends depuis 15 mois déjà dire haut et fort ce que les Hommes libres défendent au quotidien : la liberté ne paiera pas le prix de la faillite de l’hôpital. Bim, prends ça dans les dents principe de réalité. Notre texte fondateur (la constitution de 58 rappelons-le) est souverain, et nous aussi. Et tant pis si l'eau ça mouille et que le feu ça brûle. On a les combats que l'on peut. N'est pas Errico Malatesta ou Emiliano Zapata qui veut !
Mais je voudrais ici même produire une réflexion toute revendicative, parce qu'en accord avec moi même, ma conscience et mon égo, j'ai la faculté et le droit de crier dans le désert. Na !
Donc le vaccin ne passera pas part toi car ON nous l'impose. CEUX qui nous obligent sont à la solde des puissances de l'argent. ILS commencent par ça puis ILS nous fliquent tout ça pour cacher les morts de la pollution, et tout et tout... En plus, il n'est pas question que tu mettes une substance étrangère non-choisie dans ton corps, la sacro-sainte enveloppe qui contient ta conscience alerte et si aiguisée.
Wow, puis-je reformuler tes revendications, mais dans le désordre puisque tes désirs sont des ordres. Et que ma patience t'offre son écoute active mais que faut pas trop pousser le boubou dans les maniocs...
D'abord, ton corps inviolable. Ça me fait sourire ce soudain rappel de l'importance du vivant par ta personne parce que quand tu te brosses les dents au dentifrice bio, que tu ingères le tofu sensément panacée des végétariens ou la carotte en circuit-court, que tu inhales la fumée du tabac de Mon Sieur Reynolds, que tu sépares en forme de trait aidé de ta carte de crédit le plot de cocaïne pour te le mettre dans le pif en réunion, ou encore quand tu introduis le plug-anal dans l'entre-cuisse de ton/ta partenaire, est ce qu'à ce moment là, tu t'insurges contre la dictature de la Marchandise qui guide tes choix, fabrique ton consentement ?
Songes-tu un instant au lien de cause à effet entre ta propre consommation quotidienne et l'érection rampante et hiératique d'une dictature politique par l'oligarchie marchande aux 4 coins du monde (ou seulement en bas de chez toi...) ? Tu t'y intéresse à géométrie variable, surtout quand ça menace ton confort (intellectuel) non ?
Et d'après toi, les GENS auraient peur, c'est pour cela qu'ils iraient les yeux fermés se faire injecter un fluide salvateur imposé par les média et la publicité à la solde du grand remplacement. Bien entendu, tu ne te poses pas la question de ce que peut être la motivation des personnes visées, les GENS, à part ce concept de peur qui les envahiraient à chaque incantation médiatique. Comme tes/nos pratiques sexuelles, as-tu déjà envisagé la part de masochisme chez chaque personne ? Est-ce inimaginable pour toi ? N'est ce pas leur refuser une part de liberté ? Et s'ils avaient envie de faire l'expérience du pire ? Ou du médiocre, comme leur chef ?
Bref, quand l'hédonisme nocturne te fait théoriser et défendre que TOI, tu n'as qu'une vie, qu'il faut en profiter, et que c'est pour ça que tu reprends un verre, puis trois autres, que tu sniffes, fumes, shoot, gobe moi je danse juste portée par ma glycémie de petit connard. Et je sais bien que la dame du dessous n'aime pas du tout les basses. Par contre, la dame-du-dessous, bien qu'elle ne connaisse pas Stupéflip, elle-même, si elle te donne l'impression d'être une peine-à-jouir, sait en son for intérieur que si la santé de l'humanité est altérée et modifiée par les psychotropes consommés (il)légalement, alors l'espèce court à sa perte. Ça devrait te réjouir non ? Fi du cannibalisme, la sélection naturelle devrait élire ses survivants. Mais pas dit que tu en sois ?
J'aime à penser (Michel Onfray, sort de ce clavier) que tu as tout à fait le droit d'être en désaccord avec moi, surtout que de mon côté, sincèrement, je te reconnais le droit et la légitimité à formuler ton point de vue et à défendre cette forme de vie en résistance au sein des communautés poreuses dont je suis aussi acteur (bien que pestiféré et criminel à tes yeux puisque j'embarque le genre humain sur Mars avec les illuminatis-transhumanistes en m'étant fait injecter le produit vaccinal de chez Pfizer !).
Mais avec les mesures de ce gouvernements de médiocres, dis-moi ce que tu en penses, mais n'est ce pas la preuve par les faits que tu as gagné le combat du VRAI, toi et tes semblables ? Vous ne vouliez rien consommer qui produise une pollution environnementale, ne plus fréquenter le grand magasin propriété du milliardaire, ne pas rentrer dans le champs visuel et glacial du capitalisme de surveillance "à la franco-chinoise", que vos enfants soient vierges des catéchismes scolaires et citoyens, qu'aucune substance ou onde ne pénètrent vos corps (cœurs ?) sacrés, etc...
Alors dans la petitesse de mon esprit étriqué et suite à la formulation par le président des Français de devoir présenter ce laissé-passer vaccinale pour aller et venir dans certains espaces communs de la société que nous formons ENSEMBLE (rappel !), une pensée simplissime s'est formée d'elle-même ce matin :
Comme il est admis que la politique fait toujours l'inverse de ce qu'elle promet, je crois bien que les élites en place vont tout compte fait dans le sens des anti-vaccins, résistants ou colibris militants puisqu'ILS leur interdisent de fait d'aller consommer la marchandise produite par les processus industriels.
Le Macronistan protégerait alors ses opposants, et ça laisse bibi... comme un rond-de-flan !
Et quoi ! Le gouvernement du bloc-bourgeois pour une fois va dans ton sens et tu râles encore qu'il faudrait faire autrement...
Vraiment, si tu n'étais pas enserré, gavé et repu de toutes ces richesses matérielles et spirituelles spolié aux africains, asiatiques, sud-amérindiens depuis six siècles et plus, je dirais que tu es bien malpoli de cracher dans la soupe. Mais je ne le ferai pas parce que je reconnais qu'il m'arrive aussi souvent que toi de ne pas savoir ce que l'on doit au régent, au colon ou à l'industriel...
En guise de CONCLUSION
Alors même si je n'étais pas d'accord avec VOUS, je me battrais becs et ongles pour que vous puissiez enfoncer des portes ouvertes avec des baquets d'eau tiède posée dessus. Bim, Combo Voltaire ! Et tant pis si ça m'éclabousse. C'est ça faire "société" n'est-ce-pas ?
Vu que de toute façon, en hyper-libéralisme, on a bien le droit de faire et dire "qu'est-ce-qu'on-veut", et bien môa, j'ai commis sciemment et avec plaisir toute cette suite de fautes... de français... et de goût.
Comme le langage précède la pensée... armez vos bataillons !!!
Et comme moi j'aime bien la bagarre ;), je vous le demande : _ "Toujours parés à vivre ENSEMBLE ?"
14 juillet 2021, maussade à souhait, sur les réseaux numériques comme dans le ciel, bas de plafond
Montrer ce documentaire avant ses 15 ans à sa fille ? Ça me semble souhaitable non ?
Si j'aurais su j'maurais fait dépister... mais avec des SI.
Bref, à regarder. Et faites vous dépister.
Pourquoi je ne suis pas étonné de lire ce qui suit. Tous ces carnassiers technos exigent leur part du gâteau en imposant l'abject solutionnisme technologique. Pouah !
Mais déjà, tout le secteur de la musique live est assailli de propositions d’entreprises qui veulent mettre de la technologie et de la surveillance dans une affaire restée jusqu’ici très humaine, l’accueil du public dans des lieux de culture. Les concerts et les festivals ne seront peut-être plus jamais les mêmes.
La réponse est positive et il est temps que ça cesse.
"On pourrait dire que, cette fois, c’est le système immunitaire de la Terre qui a identifié son agent pathogène le plus destructeur : l’être humain."
Voilà .......
C'est dit !
Ah, la santé de l'innovation n'a pas de prix. Dommage que France Info ne parle pas réellement du mode de financement derrière tout ça. Comme ci les seuls praticiens et hôpitaux qui cotisent pour le service puisse financer les 1400 postes et la machine de guerre qui va avec.
Et surtout :
"Je suis sûr que le ministère de la Santé serait prêt à payer fort cher l'accès aux données de Doctolib, pour par exemple l'aider à étudier à la loupe les délais de prise en charge dans les hôpitaux où ce système est installé", estime le docteur Pascal Charbonnel, membre du Collège de la médecine générale.
Un futur RH cette IA ?!??!
Tut tut !
« Accélérer le virage numérique » : le Snitem (Syndicat National de l'Industrie des Technologies Médicales) se félicite des engagements pris par le (...)
ALORS
VOILÀ
JE VAIS LE PRENDRE POUR MOI !
En Birmanie, l'astrologie entre les mains du pouvoir a fait des ravages ces 15-20 dernières années, les généraux en raffolant ;
... et puis en Chine, le 16 février 2018 pour nous, ce sera l'année 4716 année du Chien de (l'élément) Terre