905 liens privés
Ah ah, quand les vieux chats sont absents, les jeunes souris bambochent à plus soif ! (rien de nouveau sous le soleil de l'adolescence n'est ce pas ?)
Les réseaux axés sur l'image rencontrent donc un succès grandissant…d'autant que «les parents en sont souvent absents».
"La véritable tranquillité d’esprit vient des conversations qu’on a avec son enfant. On lui explique les risques qu’il court, comment s’en protéger, et on l’accompagne en l’aidant à reconnaître les situations potentiellement délicates : “Tu vois ce lien, là ? C’est une publicité / C’est un autre site / Je trouve ce lien suspect parce que… Ne clique pas dessus.”
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"Êtes-vous prêt à lui parler de cyberharcèlement ? De pornographie ? De fake news ? De complotisme ? Si la réponse est non, il est peut-être encore trop jeune pour avoir son smartphone."
"… Mais peut-être que c’est plutôt vous qui n’êtes pas prêt à aborder ces sujets délicats ? Ça tombe bien, la rentrée c’est l’heure de faire ses devoirs ! À vous de jouer…"
"Enfin, dernier point : deux verbes ont fait leur apparition dans le vocabulaire de ces ados, deux verbes qui en disent long sur l’orientation que prend le numérique : "monétiser" et "sponsoriser". Certains, sans trop savoir de quelle manière, ont entendu parler de vidéos sur Youtube qui auraient enrichi leurs créateurs. Souvent, le "like", qu’il soit celui apposé sur une page Facebook ou une vidéo Youtube, est confondu avec "argent". "Quand on like, ça donne de l’argent à Facebook"."
Premier concerné, après d'âpres échanges avec ma petite de moins de 13 ans qui s'était créée son propre compte dans son coin, nous avons fait machine arrière. Mais sommes nous nombreux à tenter de reprendre le contrôle ?
"Ce n'était plus possible de continuer ainsi. Snapchat a avoué que son outil de vérification d'âge fonctionnait mal."