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Très bon son recommandé par David S. Pour une veille de Noël !!
Transgressif à souhait.
44 titres au top qui font passer par tous les états
Magnifique plantade et le monde impitoyable du rock.
"« C’est pas parce qu’on est minoritaire qu’on doit avoir honte »
Dans le Paris en mutation des années 80, le jeune Picard Marsu se retrouve au cœur du mouvement punk et du rock "alternatif". Des squats à la musique, tout est politique. Les squats sont encore teintés des modes opératoires de la lutte armée. La musique, elle, Marsu la conçoit comme un vecteur d’éducation populaire, comme une démarche globale qui propose une façon de vivre et un rapport au monde différent, à une époque où la jeunesse étouffe."
Synopsis
"Le film relate la vie du jeune et énigmatique chanteur, qui fut à l'origine d'un nouveau genre musical, hors de la scène punk britannique des années 1970, et du groupe Joy Division, dont il sera la figure emblématique de 1977 à 1980. Il traite également de son mariage précoce et de sa vie extra-conjugale, mais aussi de ses crises d'épilepsie de plus en plus fréquentes, qui, selon le film, ont contribué aux circonstances qui le pousseront au suicide, la veille de la tournée du groupe aux États-Unis."
Déjà vu mais très envie de m'y replonger...
Synopsis
"Le sujet du film est constitué par des éléments peu connus de la biographie de Viktor Tsoi et se déroule l'été 1981 à Leningrad. La trame de l'intrigue est la rencontre et la relation du jeune Tsoi , âgé de dix-neuf ans, de Mike Naoumenko (du groupe Zoopark), qui a vingt-six ans, et de Natalia Naoumenko, l'épouse de Mike. Il raconte aussi la création de la salle de concert Leningrad Rock Club et l'enregistrement du premier album du groupe Kino intitulé 45."
23€ - On va voir si notre libraire préférée peut nous commander cette ouvrage.
"Profession : Rock critic par Albert Potiron (288 pages, inclus photos noir et blanc. Tarif frais de port compris pour la France métropolitaine). Préface par Bertrand Burgalat. Sortie fin novembre 2019. Avec des interviews exclusives de : Michka Assayas (Rock & Folk), Lelo Jimmy Batista"
Pour sûr que Madame Laurence fait partie de ses institutrices de luxe qui m'a formé à lavant garde.
Bien au-delà des prétentions des adultes autoproclamés qui ne comprenaient rien à rien : rock, techno, rave, poésie suburbaine, etc... c'était toute notre vie.
Et pus quand la déferlante hip-hop est arrivée, nous savions surfer !
1 000 merci Laurence pour tes goûts et tes prémonition !
"Avant la sortie début décembre du livre Profession : rock critic par Albert Potiron, où vous trouverez l'ensemble des entretiens publiés sur le site plus de nouvelles interviews inédites, mettons-vous l'eau à la bouche avec une partie de la rencontre avec Laurence Romance, grande gueule et pilier de [...]"
Curieux ce Richard Dawson, mais quelle classe, ce morceau ne pouvait pas mieux tomber que ce dimanche maussade !
Helena assure grave les dessins au stylo bic !