Alors que le street art se monnaie dans les galeries d’art, dans les rues, les graffitis sont les cibles d’une lutte acharnée. Tous les ans, ce sont plusieurs milliards d’euros qui sont investis au niveau mondial dans des systèmes de sécurité, de nettoyage et de prévention. Graffeurs eux-mêmes, les auteurs ont ainsi vu leurs inscriptions disparaître de plus en plus rapidement. Leur regard s’est alors décalé : du graffiti, c’est sur son effacement qu’ils se sont penchés.

Sa série de collages “Femme-Maison”, questionne l’image de la femme contemporaine, forte, libre et autonome, capable de porter sa propre architecture sur soi… sa maison.

Au gré de leurs besoins, les villes étendent leurs frontières sur les territoires voisins. C’est le cas pour l’alimentation en eau potable, et comme d’autres villes, Dijon à partir de 1939 dépend de ressources exogènes. La nappe de la Saône devient une ressource clé de son développement. Grâce aux infrastructures hydrauliques, la ville se déploie et crée une souveraineté sur les communes de sa périphérie avec lesquelles elle fait commerce d’eau. Les lois de décentralisation lui donnent de nouvelles prérogatives sur la gestion durable de la ressource des bassins versants, un défi à relever en contexte de changement climatique. L’extension réticulaire et spatiale de la ville est parfois interrogée voire contestée par d’autres acteurs : certaines communes en quête d’autonomie en eau ou le Département de la Côte d’or.

Ça ne coûte vraiment rien de le répéter :

« Nous pensons à nos grands-mères et à nos grands-pères qui, s'ils avaient dû vivre au début des années 1940 dans un monde saturé des technologies que vous fabriquez, n'auraient pas survécu plus de trois semaines dans la clandestinité, et n'auraient pas pu organiser des réseaux de solidarité dissidents pour résister au régime nazi. » La Quadrature du net

L'Opinion n'a honte de rien, mais pas autant que les 2 affreux, ou plutôt les larbins qui ont rédigé ce torchon techno-fasciste.

Ce qui est décrit dans ce très bon article, je le ressens dès que je pose un pied dans la capitale des ducs et états de Bourgogne.

Pouah, ville moyennement intelligente...

"[...]Dès lorigine, le projet de ville intelligente a été défini de manière ambiguë : [...]"

"« L’aspect le plus insidieux de la ville capturée repose sur la façon dont son pouvoir militariste est caché à la vue du public ». Il ne s’agit plus de patrouilles de police à la vue de tous, mais d’une boîte noire du contrôle fait d’une collecte de données opaques et d’algorithmes invisibles qui influencent les pratiques policières."

Biodiversité? Dans l’inconscient collectif, le mot évoque plus la luxuriante forêt tropicale que la flore des pieds d’arbres des boulevards de nos villes…. Pourtant, les écosystèmes qui s’organisent, au cœur même de ces dernières, suscitent un intérêt cro

Si la ville naît avec la sédentarisation des hommes, son développement a pour corollaire le recours aux signes. Les traces d’autrefois n’ont rien à voir avec celles que nous connaissons aujourd’hui. Mais dès Sumer, Éphèse, Pompéi, Tikal et ailleurs, trois types de signes — institutionnels, mercantiles, sauvages — sont bien présents, et se sont installés dans notre espace urbain. Comment en faire le répertoire ? Comment penser leurs connexions ? Comment, aussi, les oublier ?

"La photo urbaine est une des pratiques les plus accessibles en photo. Quel que soit votre expérience et votre matériel, vous pourrez avoir des résultats surprenant."

"Apprendre les règles de circulation en tant que piéton dès le plus jeune âge est impératif. C’est pourquoi la Gendarmerie Nationale a réalisé en collaboration avec Front Network, un advergame pour les plus jeunes afin de les sensibiliser à anticiper sur les dangers de la rue qu’ils peuvent rencontrer.

merci à http://www.seriousgame.be/2011/02/permis-piton-ladvergame-de-la-circulation-en-ville/
Que ce soit en allant à l’école, en revenant, en se rendant à son club de sport ou chez ses grands parents, il est important que nos petits marmots prennent conscience des attitudes à adopter car un accident est vite arrivé."

Pas toujours facile de comprendre à quoi servent les impôts des communes, surtout pour un enfant.
A cette initiative, la Commune d’issy-les-Moulineaux a créé un Serious Game pour les 7-14 ans pour leur faire comprendre les grandes lignes des finances locales.
Le jeu est en flash et permet au joueur de déambuler dans les rues de la ville à la recherche des points d’interrogation qui vont le mettre à l’épreuve par des questions à choix multiples. Le jeu se présente en 3 niveaux et s’il a répondu correctement aux 5 questions, un code lui sera dévoilé pour accéder au niveau suivant.
Ces questions lui permettront de mieux comprendre à quoi servent les impôts. L’enfant pourra aura le choix entre 2 avatars, Elsa ou Jules et se déplacera dans la ville à l’aide des flèches de direction du clavier. Il pourra ainsi rejoindre la mairie, l’école ou la ludothèque où une question, selon le bâtiment où il trouve, lui sera posée. Pour chaque réponse donnée, il obtiendra un score et quelques explications supplémentaires.

"Invité surprise de la première "grande thématique" proposée par la Gaîté lyrique depuis son ouverture, en mars 2011, le skateboard va occuper les quatre étages de l'ancien théâtre parisien pour présenter son imaginaire à travers des expositions, concerts, projections vidéo et quantité de performances embrassant les multiples sphères artistiques - graphisme, musique, cinéma, photographie, mode, jeu vidéo… - marquées par les rebelles du bitume." (Le Monde.fr | 17.06.11 |)

Biodiversité? Dans l’inconscient collectif, le mot évoque plus la luxuriante forêt tropicale que la flore des pieds d’arbres des boulevards de nos villes…. Pourtant, les écosystèmes qui s’organisent, au cœur même de ces dernières, suscitent un intérêt cro

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PROPOSITIONS POUR MIEUX TRAVAILLER ENSEMBLE AU SERVICE DES HABITANTS DES QUARTIERS
Rédigé par Philippe OURLIAC publié le 23 septembre 2011

L’Agence nouvelle des solidarités actives (ANSA) est une association à but non lucratif créée en janvier 2006 pour concevoir, expérimenter et mettre en oeuvre des projets d’innovation sociale afin de lutter contre la pauvreté et l’exclusion sociale. L’association intervient autour de trois axes : l’expérimentation, l’accompagnement de politiques publiques et l’animation de réseaux d’acteurs par la diffusion et la capitalisation des pratiques."

"Le maire de la ville affirme ainsi que ce sont 4 millions d’euros d’économies qui ont été réalisées sur la seule année dernière. Une économie qui tient notamment compte du coût qui aurait été nécessaire à la mise à jour des versions Windows et Office."