Il s'agit encore de déni là où devoir et mesures exceptionnelles d'urgence devraient être prises.
Mais non, nos vassaux de la technostructure continuent de la servir même si, lorsque les périphèriques sont à bout de souffle, ces mêmes larbins vont les asservir. Ils ricanent dans leurs habits dorés. Ils aboient quand ils dirigent l'assemblée des élus du peuple. Mais ils ne sont pas capable de la moindre empathie ; venir en aide à ceux qui les paient... pour être "justement" et "correctement" administrés.

"Les maires de la Drôme et d'Ardèche se sentent seuls et abandonnés dans la gestion de la crise après les chutes de neige de jeudi dernier. Après la maire de la Motte-de-Galaure, Geneviève Girard de Portes-lès-Valence lance "un cri d'alarme" à Emmanuel Macron."

"Mais vous devez comprendre, Monsieur le Président, que nous ne pouvons plus assumer pour vous, indéfiniment, les défaillances de l'État."