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Retour sur la vie brève et tragique de Zayar Thaw, jeune star du rap birman devenu député aux côtés d'Aung San Suu Kyi, puis exécuté par la junte birmane en 2022.
Rhoo, totalement régressif, totalement nostalgique du futur.
Pump up the volume !
AUM !
Elle appuie sur la gâchette et donne envie de voir, et de savoir.
Mais Audrey Estrougo réussit à illustrer combien le duo a progressivement accepté de se débarrasser de tout un entourage amical pour mieux gravir les échelons de la gloire.
Tiré de la compilation Ola Compile vol.3 - Haute fréquence, ce morceau m'a bien plu. Comme une chronique-reportage des petits bisous de nos loulous ;)
Sinon, un article comme il faut sur le très bon site PWFM >>> https://www.pwfm.fr/ola-compile-vol-3-haute-frequence-gather-round-the-riots-children/
alternative electronic rap acid ambiant downtempo gabber jungle post-punk techno Bordeaux
Depuis des décennies, Martha Cooper immortalise les graffitis new-yorkais. Retour sur le parcours d’une photographe qui continue d’inspirer les street artists du monde entier.
Quel œil && quel talent !
Wow, Pâques au platine - Vivement août pour danser debout !
Soul, R'N'B et HipHop du matin, c'est bien-bien !
Sélection musicale du défunt rappeur au masque.
Hip-Hop conscient approuvé par Jacky du Secteur A, tavu !
Le rap reste lié à la critique sociale. La revue Mouvements explore ce rap politique dans son numéro 96 intitulé « Le battle du rap : genre, classe, race ».
Ah ben merdre alors :(
"A l’époque, rapper en français, ça faisait Chagrin d’amour. »
En effet, en 1981, le duo franco-américain, composé de Gregory Ken et Valli, raconte le récit d’une fin de soirée en parlant plus qu’en rappant, mais leur succès décourage les apprentis rappeurs. Lionel D, lui, a persisté. « Il a retravaillé ses textes en employant l’intonation d’un rappeur de Sugar Hill Records, Spoonie Gee », explique Dee Nasty. Lionel D rappe sur ce qui se passe autour de lui : la solitude, la misère, les habitants de son HLM. Dee Nasty, lui, veut égaler le son américain. Les deux acolytes ne se quittent plus."
Un des titres est, "Irresistible", ce petit EP vaut le coup d'oreille
"Anthony Mills was trained in opera, but has a sound influenced by Hip-Hop, Soul, Reggae, Jazz, Ambient, Trance and House. Mills has also toured extensively with Harry Belafonte’s All-Star Band, recorded with KRS-One, Amy Winehouse, Leela James, Maxi Priest, and many more. "
[À SUIVRE...]
C'est dans le Bronx des années 1970 qu'est né le hip-hop. Rapidement, ce mouvement culturel protéiforme, porté par la communauté afro-américaine, trouve dans la musique son expression la plus éloquente : à côté des initiateurs du break dance et des graffeurs, la figure du MC (maître de cérémonie) subjugue les artistes en herbe. "Le rap a commencé avec de simples mots lancés comme ça. Les mots se sont transformés en phrases, les phrases en vers, les vers en paragraphes et la rime était née", se souvient Grandmaster Caz, membre des légendaires Cold Crush Brothers. Dans le sillon des pionniers américains, le hip-hop se répand aux quatre coins du monde.
Article tiré de Benzine Magazine : "20 artistes de la scène hip hop réunis autour d’un projet pour venir en aide aux victimes de la guerre en Syrie. Les revenus générés par la vente de cette compilation seront entièrement reversés à l’association A Syrian Dream, qui aide les enfants des camps à la frontière turco-syrienne."