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Yanis Mhamdi reçoit Bushra Al Zoubi, réfugiée politique syrienne et militante des droits de l’Homme et Ziad Majed, politiste et chercheur spécialiste du Moyen-Orient et des relations internationales.
De l'intelligence, enfin !! À conseiller à toutes et tous ceusses qui savent mieux...
Une femme à la caméra. Son mari qui créé avec les survivants des hôpitaux. Et des naissances, mais beaucoup trop de morts. Alep est ravagé.
Moi spectateur suis dévasté.
Des souvenirs de ce documentaire, évidemment.
Effroyable guerre faite aux humains. Aux gens. À NOUS. Cette indicible indifférence en Syrie a été filmé. J'en frissonne encore.
Fallait-il que notre fille de 12 ans voit ces atrocités ? Devait-on lui proposer de venir VOIR ? Mais oui, puisqu' elle n'a pas tant été choqué par les petits corps d'enfants décharnés ou les "gisants" des hopitaux que par le hors champs : celui on l'on doit se convaincre que l'Homme est bien son propre prédateur. Avec ces chefs de guerre qui règlent leur compte sur le dos des populations.
Prochaine étape : lui présenter Les chemins de la gloire de Stanley Kubrick, histoire de voir ce "hors-champs".
Article tiré de Benzine Magazine : "20 artistes de la scène hip hop réunis autour d’un projet pour venir en aide aux victimes de la guerre en Syrie. Les revenus générés par la vente de cette compilation seront entièrement reversés à l’association A Syrian Dream, qui aide les enfants des camps à la frontière turco-syrienne."
Effectivement, très peu de publicité sur les engagements des uns et des autres à rejoindre le Rojava... Peut être des photos reportages indépendants, je vais prospecter, merci Nekoblog pour ce lien de Mediapart.
"Dans la Syrie du Nord, trois provinces kurdes forment l'entité appelée le Rojava, (autrement dit le Kurdistan syrien), où depuis 2012, un projet politique exceptionnel a été mis en place par le PYD (Parti d'union démocratique Partiya Yekîtiya Demokrat), ressemblant à une version des Chiapas pour le Moyen-Orient, décrit par cet auteur dans un article précedent. Cette idéologie est fondée sur celle du PKK, plus particulièrement son leader historique Abdullah Ocalan, revenu de son engagement marxiste-léniniste en faveur du principe de démocratie directe, dérivée de la pensée anarchiste. Ici la notion-même d’État a été bannie, à la faveur d'une nation composée de citoyens engagés dans le même combat partageant le même territoire, qu'ils soient kurdes, chrétiens, assyriens, turcs, voire venus d'horizons lointains."
"La lutte contre l'État Islamique et son recrutement effréné ne pourront se mettre efficacement en place que lorsque la réalité du Rojava sera mieux comprise et entendue et qu'une contre-offensive médiatique pourra être mise en place, capable de toucher des jeunes qui s'engagent pour le djihad par désespoir et ignorance d'une alternative viable. Voici un champ immense qui s'ouvre que la jeune génération d'artistes et de réalisateurs devrait s'appliquer d'urgence à explorer"